Le futur de la Matria est dans la connaissance profonde et approfondie de son histoire et de sa culture ancestrale. En retour à notre planète, dans le monde conscient de tous les jours, le Toltecáyotl.
La majorité des habitants, « du pays des criollos », sont les enfants des enfants d'une de ses civilisations les plus anciennes et d'origine autonome de la planète. D'une manière ou d'une autre, culturellement, ils sont anciens comme la Chine ou l'Inde. Sans embargo, à la différence de ces pays, et où nos villages ont été totalement vaincus par leur passé ancestral, nous sommes vivants et déconnectés de l'histoire et de la culture de nos illustres anciens. Construit, année après année, un présent incierto, qui detruimos et olvidamos immédiatement. Notre condensé est olvidar, pour vivre dans l'ignorance de nosotros nous-mêmes, vivant un interminable « laberinto de la soledad ».
Pour les processus de colonisation, que nous avons subis dans les cinq derniers siècles, à la main des colonisateurs d'Ayer (les gachupines) et des nécolonisateurs d'aujourd'hui (les criollos), dans ceux qui ont traité de disparition de nos langues, mémoire historique, connaissances, territorialité et spiritualité; hémos perdu la conscience, -dans le monde de tous les jours-, de la sabiduría ancestrale qui crée nos antepasados le long de siete millenios et medio, même qui se manifeste dans les villages indigènes et campesinos dans les traditions, fêtes, usages et costumes, et de manière subconsciente, dans la vie « moderne » des métis qui vivent dans les noyaux urbains.
Bajo ningún motivation nuestra Civilización Madre ha muerto o desaparecido. Il a gardé sa vie grâce à ses profondes racines à travers la résistance culturelle, les propriétés culturelles et l'évolution endogène ; Parce que la culture évolue et est toujours en transformation. L'Anáhuac est la structure considérable et poderosa qui soutient l'endéléquia du pays des criollos, appelé « Mexique ».
Aujourd’hui, la Civilisation Mère nous pose une matrice philosophique culturelle qui a la « colonne vertébrale » du millénaire qui a été étudié, enregistré, systématisé et géré pendant des kilomètres d’années. Cette connaissance est connue comme Toltecáyotl. Le Dr Miguel León Portilla l'a défini comme « les connaissances et les institutions des toltèques ». Les toltèques sont les hommes et les femmes de la connaissance. Il n'y a pas d'ethnie ou de culture, mais un degré ou un niveau de sabidurie, de perception et de gestion de l'énergie.
La palabra Toltecáyotl en langue náhuatl se compose de deux parties, « tolteca y yotl ». De la façon dont la tolteca est un artiste (mais pas dans le sentiment occidental), « le maximum d'artifice », et yotl, signifie l'âme ou l'énergie fondamentale de l'être humain. Le maestro Alfredo López Austin, dans son livre Corps humain et idéologie, dit : « Yolia est la principale et centrale des entités humaines. Votre maire se concentre sur le cœur. Seul l’individu se sépare après la mort. À elle se doivent les principales activités de la conscience ».
Mais aussi, le Maestro Arturo Meza dans son livre Mosaïque de jade avec reflets d'obsidienne nous offre un orgument très profond sur la particule Yotl :
Il existe des expressions particulières liées à la pensée ancienne, une de celles qui nous paraissent fondamentales est le Yotl particulier, lorsqu'il se combine avec le numéro de deux, moi. Yotl est l’essence primordiale, la mentalité humaine, l’idée d’une essence qui enveloppe le ton sans limites, et en même temps il est complètement immergé dans l’univers compréhensible à partir de là, et plus encore de nos perceptions. Il existe l'idée que tous les lieux, aussi dans les plus grands récits de notre univers, existent l'essence, qui désire une interaction en même temps qu'elle ait la qualité d'être une force d'attraction qu'une particule de polarités contraires dans des ensembles cohérents de structures duales, avec le résultat de Yotl, l'essence pure, se convertit en Omeyotl, l'essence du dual et celle qui amène l'Omeyo´can.
Éducatif AC. Éduquer pour le futur avec la connaissance du passé.
Décoloniser c'est dignifier.